Rassemblement Ste-Croix du Verdon 21 mai 1983

Extraits d'une video de Peire Combe de "AQUO d'AQUI"contre un projet de complexe touristique.
Les Grands Chemins ont assuré la sono et participé musicalement.

Pierre Méric avec "Lei Chapacans" (Photos Pierre Marquer)

Avec Miquela
Voir passage video PM avec Fender Mustang Voir passage video avec Banderole "Sauvons les espèces en voie de disparition".
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Pierre Méric avec Serge Aoust

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Miquela et Pierre Méric

Avec "Lei Chapacans"

J.C. BABOIS

David Phillips, Christian Zagaria, Montanaro, Jean-Novè Mabely

Christian Jampy : notre sonorisateur

VAR-MATIN 22 MAI 1983 et

VAR-MATIN 23 MAI 1983

(cliquer sur l'image pour l'agrandir)

La sono était assurée par Christian Jampy (membre du Collectif des Grands Chemins) la plupart des chanteurs utilisait notre micro PEARL DM7500 (Miquèla, Mauris, Montanaro, Nicola, Frédéric,...) Ils chantaient dans ce micro

Nicolà, Mauris, Miquèla et lei chapacans

Daumas - Frederic - Chiron - Montanaro

Que l'on voit aussi depuis la colline de Riez *** Quelques photographies de Sylvie à Riez Décembre 2022

Le tourisme c’est la consommation collective de choses qui ne sauraient être goûtées et appréciées que par la sensibilité individuelle. {Préface de Jean CASSOU à Federico Garcia Lorca (1966)}

Dizco Rural dans Disque 33T Lei Chapacans Printemps 1981- Chant et Paroles Miquela Bramerie (avec Sophie et Laurence) - Musique Pierre Méric (Guitare) avec David Phillips (Contrebasse), Philippe Allegrini (Sax et Batterie)

Ecoute mp3

- "Duo Miquela - Méric" ... "la remarquable prestation de Miquela et Lei Chapacans.." .."une fête qui restera dans les mémoires et qui fut dirigée par Pierre MERIC et sa guitare..." "A L'AN QUE VEN ET LONGO MAI A L'ESPAVENTAU"
(Denis Antoine " le facteur-jazz " - Ramatuelle - Var -Matin Mai 1991)

Pour éviter les confusions ! La "cause" fondamentale de défense du Pays du Verdon et plus globalement de la NATURE dont nous sommes poussières qui ne redeviendront plus poussières si la NATURE MEURT !... n'appartient pas à des "défenseurs" motivés par des religions et autres apprentis gouvernants, y compris "occitanistes". L'affiche préalable annonçait "Les chanteurs occitans" en nous y incluant. L'ayant refusé nos noms ne figurent même pas dans le générique de cette VIDEO.

La réponse à l'époque à l'animateur sur Radio-France Provence sur ce sujet a été nette : "Je ne suis pas un chanteur occitan mais un occitan qui chante.... le Cante Jondo, le Chant Profond de toute la Méditerranée, notre Jazz... musique de tous les temps, de partout, de toujours..." (sur Radio-Provence à Jacques Hansen)

LA SANTONNADE (Note de 1994)

Dans le N°5 de notre bulletin (Nov. 93) figure un texte de référence : "On ne vend pas la terre sur laquelle les hommes marchent"... Le propos semble tomber dans l'oreille SOURDE des "intégristes" provençalistes qui débonnairement confondent le terme "culture régionale" à celui de "culture provençale"... En authentique autochtone je sais que c'est faux ! d'où les "S" dans notre titre "ARTS et CULTURES". En fait cette conception ramène à l'esprit Paysan, propriétaire, pour mieux utiliser un fond de commerce et les provençaux comme autant de SANTONS pour ce tourisme consommateur moutonnier d'exotismes (que la phrase de Jean CASSOU citée dans notre N° 8 analysait parfaitement). D'autres intervenants au cours de nos récentes rencontres LIGUE, ont pu s'inquiéter du commerce des "racines" identitaires tournant au "passéisme". La culture des Pays du Verdon en musique par exemple c'est aussi le Jazz ou la Chanson française... ou ce Rock en Anglais que nous chantions déjà en 1964 à BARJOLS et à RIANS... ("Les Panthères Noires" et "Les Leopards")... c'est aussi la fête multiculturelle des Grands Chemins depuis 83 (Soirées Gitanes et Musique du Maghreb...) - MEFI aux "hymnes", aux "nations" et autres volcans qu'on croyaient endormis !

Pour la "Festa de l'Espaventau" - première édition - à Ramatuelle, le "Facteur Jazz" - Denis ANTOINE - écrivait (...) "Un fil conducteur poétique qui a fait passer le public de l'ex-bouchonnier puis apprenti des torpilles de St-Tropez à l'ouvrier de Marseille, aux quartiers et aux rues des années 60 pour partir à la découverte de la Provence rurale, des fêtes du Haut-Var, avec toujours le chant profond, amoureux du pays et du Midi." (...)  

"PAIS PROVENçAU" - N°1 - édité par nous l'Eté 1978 offrait cette info en page 14.

 

Une semaine avant ! 14 MAI 1983 - Vinon-sur-Verdon - SIX HEURES POUR LA CHANSON