Née du Premier Echo...
(Voix toujours familière)
Passant lassé du Siècle et de la ville austère,
J'ai enfin rencontré - moi qui n'espérais plus -
Ton regard lumineux vers quelque nuit perdu
L'Amour réalisé car à jamais chimère
Née du premier écho, voix toujours familière,
Je t'enveloppe en moi quand, Vénus étendue,
Inexorablement tu pars vers l'inconnu
Pour d'autres horizons en des mains étrangères
Immense chevelure au rouge des collines
Ton corps resplendissant que mon corps imagine
Fuit la Lune en croissant pour notre dernier soir
Ma fête est nostalgie de ta beauté offerte
Chanson secrète et nue, sourire en ton miroir
Cage à feu où tu vis toujours redécouverte.
(Pierre Méric - 1996)
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